Songs for a mentor: Joyce El-Khoury honours her teacher Ingemar Korjus (Ottawa Citizen)

Joyce is featured in today’s Ottawa Citizen in advance of her upcoming concert with the uOttawa Orchestra February 5 (tickets here) where she will perform the Four Last Songs to honour her old teacher, Ingemar Korjus, on the occasion of his retirement.

To sing The Four Last Songs for Ingemar is a great honour,” El-Khoury said from Philadelphia, where she has lived since pursuing graduate studies at the Academy of Vocal Arts there. “My success is also Ingemar’s success. He taught me how to approach my craft. When I’m working on music, I still ask myself, ‘what would Ingemar say?’ He taught me to be honest with my singing, to work hard and not look for shortcuts.” -Ottawa Citizen, full feature here“

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Joyce El-Khoury

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Merci à tous! L’ensemble de la distribution, l’équipe et le public. Je noublierai jamais cette expérience et ces gens merveilleux. À la prochaine fois, Médée 🖤 / 📸: @lcab89 “Joyce El-Khoury’s Médée captivated from first to last, her ‘Vous voyez de vos fils’ mesmerising, shot through with steel. El-Khoury’s acting was of both body and voice…El-Khoury made the opera’s terrifying climax unforgettable.” - @operanowmagazine / @gramophonemagazine “Le soprano d’origine libanaise possède une dissociation naturelle des registres vocaux qui n’est pas sans donner du relief aux étrangetés de la magicienne - graves pro-fonds, aigus tranchants comme des lames.” - @lemondefr “The staging proved to be a powerful showcase for Joyce El-Khoury’s first attempt at Cherubini’s anti-heroine. This charismatic Lebanese-Canadian soprano sang Médée in a late-classical style which made me long to hear her as Gluck’s Iphigénie (en Tauride) or Alceste, surely the vocal models for Cherubini’s incandescent sorceress. Her histrionic performance...suggested that Berlioz’s Cassandre, possibly even Didon, may be within her reach. Every member of the supporting cast complemented her towering central performance.” - @operalogueman “La distribution fait appel à Joyce El-Khoury dans le rôle-titre qu’elle incarne de toute sa force de tragédienne. La voix part haut mais s’enfonce aussi dans des profondeurs infernales, servies par un timbre mordoré tout aussi solide que dans les aigues. La projection est excellente, le bref passage en arabe – lorsqu’elle chante une comptine aux enfants – est léger et gracieux, tandis que sa haine se déchaîne face à Jason dans leur duo furieux.” - @operaonlinewebsite “Le rôle, écrasant, est confié à Joyce El-Khoury, voix sonore et assurée, généreuse, au solide médium, d’un legato exemplaire. Elle porte l’ouvrage, belle et déchirante, farouche et humaine. Son combat intérieur est traduit avec justesse. Dès son air d’entrée, elle s’impose comme le personnage le plus attachant. Une grande tragédienne dont on admire tout autant la déclamation naturelle des textes parlés. Le dernier acte, à lui seul, suffit à justifier l’ouvrage et l’interprète.” - @forumoperaImage attachmentImage attachment+5Image attachment

Merci à tous! L’ensemble de la distribution, l’équipe et le public. Je n'oublierai jamais cette expérience et ces gens merveilleux. À la prochaine fois, Médée 🖤 / 📸: @lcab89

“Joyce El-Khoury’s Médée captivated from first to last, her ‘Vous voyez de vos fils’ mesmerising, shot through with steel. El-Khoury’s acting was of both body and voice…El-Khoury made the opera’s terrifying climax unforgettable.” - @operanowmagazine / @gramophonemagazine

“Le soprano d’origine libanaise possède une dissociation naturelle des registres vocaux qui n’est pas sans donner du relief aux étrangetés de la magicienne - graves pro-fonds, aigus tranchants comme des lames.” - @lemondefr

“The staging proved to be a powerful showcase for Joyce El-Khoury’s first attempt at Cherubini’s anti-heroine. This charismatic Lebanese-Canadian soprano sang Médée in a late-classical style which made me long to hear her as Gluck’s Iphigénie (en Tauride) or Alceste, surely the vocal models for Cherubini’s incandescent sorceress. Her histrionic performance...suggested that Berlioz’s Cassandre, possibly even Didon, may be within her reach. Every member of the supporting cast complemented her towering central performance.” - @operalogueman

“La distribution fait appel à Joyce El-Khoury dans le rôle-titre qu’elle incarne de toute sa force de tragédienne. La voix part haut mais s’enfonce aussi dans des profondeurs infernales, servies par un timbre mordoré tout aussi solide que dans les aigues. La projection est excellente, le bref passage en arabe – lorsqu’elle chante une comptine aux enfants – est léger et gracieux, tandis que sa haine se déchaîne face à Jason dans leur duo furieux.”
- @operaonlinewebsite

“Le rôle, écrasant, est confié à Joyce El-Khoury, voix sonore et assurée, généreuse, au solide médium, d’un legato exemplaire. Elle porte l’ouvrage, belle et déchirante, farouche et humaine. Son combat intérieur est traduit avec justesse. Dès son air d’entrée, elle s’impose comme le personnage le plus attachant. Une grande tragédienne dont on admire tout autant la déclamation naturelle des textes parlés. Le dernier acte, à lui seul, suffit à justifier l’ouvrage et l’interprète.” - @forumopera ... See MoreSee Less

2 weeks ago
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Gorgeous cast!

🥰🥰🥰bravo Madame 👏👏

Marvelous!!! Bellisima!

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