El-Khoury's Médée was both a vocal and dramatic triumph. From her first appearance, El-Khoury's magnetic stage presence was further enhanced by her wearing an elegant Middle Eastern kaftan...El-Khoury used her beautiful lyric soprano to convey a complex Médée. She is attractive and feminine, yet regal and strong-willed. El-Khourv's diction was impeccable...one could have mistaken her for a French stage actress. Importantly, her acting was natural, never stylized. – La Scena Musicale
Joyce El-Khoury’s Médée captivated from first to last, her ‘Vous voyez de vos fils’ mesmerising, shot through with steel. El-Khoury’s acting was of both body and voice…El-Khoury made the opera’s terrifying climax unforgettable. – Gramophone Magazine
Inspirée par la mise en scène, la Médée littéralement habitée de Joyce El-Khoury possède une voix aussi large que longue de tragédienne. – Le Figaro
Le soprano d’origine libanaise possède une dissociation naturelle des registres vocaux qui n’est pas sans donner du relief aux étrangetés de la magicienne - graves pro-fonds, aigus tranchants comme des lames. – Le Monde
The staging proved to be a powerful showcase for Joyce El-Khoury’s first attempt at Cherubini’s anti-heroine. This charismatic Lebanese-Canadian soprano sang Médée in a late-classical style which made me long to hear her as Gluck’s Iphigénie (en Tauride) or Alceste, surely the vocal models for Cherubini’s incandescent sorceress. Her histrionic performance...suggested that Berlioz’s Cassandre, possibly even Didon, may be within her reach. Every member of the supporting cast complemented her towering central performance. – Opera Logue
La distribution fait appel à Joyce El-Khoury dans le rôle-titre qu’elle incarne de toute sa force de tragédienne. La voix part haut mais s’enfonce aussi dans des profondeurs infernales, servies par un timbre mordoré tout aussi solide que dans les aigues. La projection est excellente, le bref passage en arabe – lorsqu’elle chante une comptine aux enfants – est léger et gracieux, tandis que sa haine se déchaîne face à Jason dans leur duo furieux. – Opera Online
Le rôle, écrasant, est confié à Joyce El-Khoury, voix sonore et assurée, généreuse, au solide médium, d’un legato exemplaire. Elle porte l’ouvrage, belle et déchirante, farouche et humaine. Son combat intérieur est traduit avec justesse. Dès son air d’entrée, elle s’impose comme le personnage le plus attachant. Une grande tragédienne dont on admire tout autant la déclamation naturelle des textes parlés. Le dernier acte, à lui seul, suffit à justifier l’ouvrage et l’interprète. – Forum Opera
On the soprano side, the moving Joyce El-Khoury, Rouen's Aïda, presents a comparable profile... – Le Figaro
The beautiful lyric soprano voice develops moments of chiaroscuro, perfectly at ease with piani and control of the vocal line...the artist proves particularly engaging and delivers a nuanced and rich portrayal of the beautiful slave in love. – Ôlyrix